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Depuis une trentaine d'années, de nombreuses études scientifiques ont prouvé les bénéfices de l'activité physique pour la femme enceinte et pour l'enfant qu'elle porte. Toutefois, seule une femme sur cinq, environ, pratique une activité physique ou sportive (APS) durant sa grossesse. Ce constat s'explique par un manque d'information des professionnels de la périnatalité qui ignorent souvent quel type d'APS conseiller et surtout comment accompagner les parturientes dans leur pratique d'une activité physique. Avec quelques 740 000 naissances par an en France (2019), les besoins sont conséquents. Après avoir rappelé les indispensables connaissances liées à la grossesse et aux modifications physiologiques qu'elle génère, cet ouvrage détaille les effets pré-, per et post-partum des APS, et propose aux médecins et sage-femmes des outils pratiques destinés à faciliter le conseil, à le personnaliser en fonction du profil des femmes (débutantes à sportives de haut niveau), et à les accompagner pour qu'elles en tirent des bénéfices en toute sécurité. Rédigé par deux experts des activités physiques et sportives en périnatalité, il comportera outre des apports théoriques fondés sur la recherche (modifications physiologiques liées à la grossesse, bénéfices des APS pendant la grossesse), de nombreuses situations cliniques Cet ouvrage s'adresse aux médecins du sport, aux médecins généralistes, aux sages-femmes et obstétriciens, ainsi qu'aux éducateurs sportifs.
Contexte : le manque d'activité physique (AP) de la population est un problème de santé publique. Les autorités de santé émettent des recommandations, notamment via le PNNS, mais peu de travaux étudient comment elles sont relayées par les médecins généralistes (MG), ni leur propre niveau d'AP. L'objectif principal de l'étude était de déterminer l'influence du niveau d'AP des MG sur leur prévention en terme de fréquence d'utilisation du conseil minimal d'AP. Les objectifs secondaires étaient la mise en évidence d'un impact du niveau de connaissance des recommandations en matière d'AP sur l'utilisation du conseil minimal ; ainsi que la mise en évidence de déterminants du niveau d'AP des MG. Méthode : Il s'agissait d'une enquête observationnelle analytique de pratique par questionnaire. Les MG ont été sélectionnés au hasard dans la région Nord-Pas-de- Calais. Ils ont été contactés par téléphone pour obtenir leur consentement et leur adresse mail, afin de leur envoyer le questionnaire. L'analyse principale a consisté en un test de corrélation multiple (modèle multivarié) comparant un score de fréquence d'utilisation du conseil minimal d'AP à plusieurs déterminants, notamment le score d'AP de Ricci et Gagnon et un score connaissance des recommandations sur l'AP. Résultats : Le score d'AP était corrélé significativement au score de fréquence selon un coefficient de corrélation à 0,13 (p=0,00067). La corrélation entre le niveau de connaissance d'AP et la fréquence d'utilisation du conseil minimal (coefficient à 0,33) n'était pas significative (p=0,111). La corrélation entre le niveau d'AP et les déterminants des MG : le sexe, l'âge, la zone d'installation (rurale, semi-rurale, urbaine), le statut de remplaçant ou le nombre de MG composant les cabinets, n'était pas significative. Conclusion : L'étude a montré l'existence d'un lien entre le niveau d'AP des MG et la fréquence d'utilisation du conseil minimal d'AP comme moyen de prévention. Il n'a pas été possible de conclure quant à l'existence d'un impact du niveau de connaissance d'AP sur la fréquence d'utilisation du conseil minimal d'AP. Dans le contexte actuel où l'augmentation du niveau d'AP de la population générale est un objectif de santé publique, le lien entre le niveau d'AP des MG et leur utilisation du conseil minimal d'AP constitue une piste importante pour l'amélioration des pratiques préventives. La formation à la prévention des médecins généralistes devra en tenir compte.
L'activité physique, au-delà du sport de loisir ou de compétition, fait l'objet de véritables recommandations à des fins thérapeutiques. La prescription de ces activités physiques sur ordonnance est un acte médical de prévention, de soin et d'éducation pour la santé des porteurs de pathologies chroniques et celle des sédentaires. Cette pratique est au cœur de l'actualité. Cette nouvelle édition, entièrement revue et rédigée par des spécialistes de la discipline, apporte toutes les connaissances et conseils nécessaires pour la prescription au quotidien des activités physiques par les médecins et par les autres professionnels de santé. Très pratique, l'ouvrage s'articule autour de trois grandes parties qui abordent successivement : -le développement et la mise en place des activités physiques pour la santé ; -les prescriptions indiquées selon la pathologie de la personne (cancer, maladie neurologique, cardiovasculaire, asthme, etc.) ; -les particularités à prendre en compte en cas de grossesse et les spécificités liées à l'âge. En annexe, le lecteur trouvera des outils d'accompagnement, des questionnaires de quantification de l'activité physique, de santé, de risque cardiovasculaire, etc. Fidèle à loi de santé adoptée fin 2015 et aux prescriptions de l'HAS concernant les thérapeutiques non médicamenteuses, cet ouvrage s'adresse aux médecins du sport, aux médecins de médecine physique et de réadaptation, aux médecins généralistes, aux étudiants des UFR STAPS, aux kinésithérapeutes et aux éducateurs sportifs.
Qui d'entre nous n'a jamais dit : "Je ne suis pas en forme, il faudrait que je (re)fasse du sport", "Je voudrais bien mincir, je proposerai bien aux enfants d'aller à la piscine avec eux...". Faire de l'exercice, reprendre une activité physique reste un grand fantasme chez la plupart d'entre nous... Et nous remettons tous au lendemain les bonnes résolutions, en prétextant trop souvent le manque de temps... parce que nous ne savons pas comment faire, que les horaires des clubs de sport ne sont pas compatibles avec les nôtres, que les journées sont longues ! Commençons donc par le début comme le propose ce livre : l'activité physique est possible tout le temps et dans tous les lieux. Cet ouvrage vous aidera à choisir l'activité physique en utilisant toutes les astuces que vous pourrez mettre en oeuvre dans votre quotidien même, car l'activité physique, c'est aussi monter et descendre les escaliers, faire ses courses, marcher, jardiner... Vous verrez que ces quelques activités sont les garantes d'une bonne forme, et vous éviteront, ou retarderont, quelques-uns des maux du siècle comme l'embonpoint, l'obésité, les problèmes cardiaques, respiratoires, locomoteurs... Outre les conseils des deux auteurs, éminents spécialistes de l'activité physique, vous apprendrez aussi à gérer vos activités physiques en fonction de votre état général, de vos maladies, de votre âge, de votre sexe...
Introduction: En 2011, la Haute Autorité de Santé (HAS) recommandait de développer les prescriptions non médicamenteuses dont la prescription d'activité physique (AP). Les médecins généralistes (MG) sont en première ligne de cette prescription c'est pourquoi nous nous sommes intéressés à la manière dont ils prescrivent l'AP et à leurs représentations à ce sujet afin de mettre en évidence d'éventuels freins et pistes d'amélioration des pratiques. Materiel et méthode: Une étude qualitative par entretiens individuels semi-structurés a été réalisée auprès de MG du Maine-et-Loire. Résultats: 15 MG méno-ligériens ont été interrogés. Ils accordaient une place importante à l'AP et la promouvaient largement. Toutefois ils ne la considéraient pas tous comme une prescription médicale. Les recommandations d'AP étaient données oralement et la pertinence de la prescription écrite ne semblait pas les convaincre. Parmi les freins évoqués concernant les MG, le manque de temps était souvent cité. Les MG pensaient que ce qui freinait les vpatients à la pratique d'AP était surtout le manque de motivation et d'encadrement. Les MG prenaient peu en considération les préférences des patients dans leurs recommandations. Le niveau d'AP des MG et l'image qu'ils renvoyaient aux patients semblaient jouer un rôle dans leurs prescriptions d'AP. Conclusion: Ce travail ouvre des pistes pour améliorer la prescription d'AP par les MG, notamment sur le fait de favoriser la precription écrite et centrée sur les préférences des patients. Une collaboration avec des professionnels de l'AP comme cela existe déjà ailleurs pourrait soulager le travail du MG et permettre un accompagnement personnalisé du patient.