Studying Moroccan women's response to the magazine FEMME DU MAROC (FDM) has revaeled that while some women do hold a favorable opinion, others dismiss it as just another means to convey unrealistic representations of Moroccan women.
Femmes de harem, co-épouses ou domestiques, filles de fellahs ou tisseuses de tapis, les femmes du Maroc ont subi en un demi-siècle les mutations de la société modern, accomplissant un saut dans les temps et dans lʹespace prodigieux: de lʹespace réservé habituellement aux femmes à lʹespace de la ville, du travail et de lʹécole. Elles racontent à Fatima Mernissi leur vie, leurs mariages, leur découverte de la cité moderne, leur espoir pour leurs enfants et particulièrement pour leurs filles, au rythme de leurs souvenirs, de leurs rires, de leur nostalgie du paradis perdu de lʹenfance, avec cette incroyable énergie qui les fait lutter au quotidien pour la conquête de petits pans dʹautonomie et de dignité. -- Back cover.
Hommage Poétique et Artistique. Ouvrage en arabe et en français, orné de 48 reproductions des plus belles et les plus célèbres des peintures de la Femme du Maroc, exécutées entre le XIX et le XXI siècle par les plus grands maîtres de Lʹart. La plus part de ces œuvres sont publiées pour la première fois avec une anthologie de poèmes qui font l'éloge de la femme. -- Publisher description.
Extrait de la couverture : "Les femmes de la tribu des Aït Hadiddou, berbères du Haut-Atlas Central marocain ont une réputation de grande liberté entretenue par la légende qui entoure leur fête annuelle, le moussem d'Imilchil appelé également 'foire aux fianés' : il est dit en effet qu'au cours de cette fête tout mulsulman peut épouser sur le champ une femme de la tribu, celle-ci ayant une entière autonomie quant au choix de son conjoint. L'apparente liberté de ces femmes pose nécessairement problème : comment au Maroc, pays arabo-mulsulman, pourrait-il coexister deux statuts différents de la femme, ce qui supposerait le fonctionnement singulier d'une société locale à l'intérieur d'une société globale, l'Etat marocain ? Pendant 10 ans (1978-1988) l'auteur a étudié le fonctionnement de cette micro-société repérant les transformations qui y sont intervenues."
Alluring and rich, Lalla Essaydi's work plays with the representation of Islam and the Orient in the West. Her work reaches far beyond Islamic culture to invoke the Western fascination with the veil and the harem as expressed in 19th-century Orientalist painting which suggested exoticism, fantasy and mysticism were abound in Arab culture. In an act of reclamation, Essayadi re-uses this visual language - the exquisite architecture, the interior decor, the clothing - to turn both the visualisation of women and of Islam in a different direction.
Au Maroc, les revendications des associations féminines se focalisent depuis une dizaine d'années sur la révision du Code du Statut Personnel, la Moudawana. Ce Code, qui maintient des discriminations majeures à l'encontre des femmes, nécessite une adaptation aux nouvelles réalités d'un Maroc qui balance encore entre ses traditions et des apports occidentaux parfois mal intégrés. Cet ouvrage se propose de faire un point sur la situation de ces femmes aujourd'hui, et offre une vision juridique, sociologique et économique du Maroc actuel.
Ce voyage au cœur des traditions de bien-être et de mise en beauté des femmes marocaines est conçu comme une initiation, une balade intime dans un univers protégé où les femmes prennent soin les unes des autres, où l'apprentissage de la séduction se fait en famille dès le plus jeune âge, de génération en génération, où le rapport au corps est très sensuel. L'auteur insiste sur l'importance accordée au bien-être et à la relaxation, évoquant le hammam - passage incontournable - et le plaisir de s'occuper de soi pour soi.