The African Commission on Human and Peoples' Rights has established a Working Group on Indigenous Populations/Communities that undertook a research and information visit to the Republic of Uganda in July 2006. From that visit this report was created, which gives an account of meetings held with government authorities, civil society organizations, indigenous communities, and other stakeholders. It describes the situation of the indigenous populations in the Republic of Uganda and it makes recommendations to the Government, civil society organizations, and the international community. The report is published both in English and French.
"The African Commission on Human and Peoples' Rights has established a Working Group on Indigenous Populations/Communities that undertook a mission to the Republic of Namibia in July - August 2005, and this is the report from the mission. The report gives an account of meetings held with government authorities, civil society organizations, indigenous communities and other stakeholders, it describes the situation of the indigenous populations in the Republic of Namibia and it makes recommendations to the Government, civil society organizations and the international community."--BOOK JACKET.
Reports of the African Commission's Working Group on Indigenous Populations/Communities in Africa - Research and Information Visit to Burundi, 27 March-9 April 2005
In 2001 the African Commission on Human and Peoples Rights established a Working Group on Indigenous Populations/ Communities (WGIP); in February of 2006 the working group undertook a mission to the Republic of Niger. This is the report from the mission. The report gives an account of meetings held with government authorities, civil society organizations, indigenous communities, and other stakeholders. It describes the situation of the indigenous populations in the Republic of Niger, and it makes recommendations to the government, civil society organizations, and the international community. The report is published in both English and French.
The three institutions making up the African regional human rights system, the African Court on Human and Peoples’ Rights, the African Commission on Human and Peoples’ Rights, and the African Committee of Experts on the Rights and Welfare of the Child, decided to jointly publish the African Human Rights Yearbook, to spearhead studies on the promotion and protection of human rights, and to provide a forum for constructive engagement about the African human rights system with academics and other human rights commentators on the continent. Volume 4 of the Yearbook, published in 2020, contains 24 contributions by scholars from Africa and beyond. Les trois institutions qui composent le système régional africain des droits de l’homme, la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples, la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples et le Comité africain d’experts sur les droits et le bien-être de l’enfant ont décidé de publier conjointement l’Annuaire africain des droits de l’homme pour encourager les études sur la promotion et la protection des droits de l’homme et offrir un forum d’interaction constructive sur le système avec les universitaires et observateurs du continent. Le Volume 4 de l’Annuaire, publié en 2020, contient 24 contributions de chercheurs du continent et d’ailleurs.
Les Twas, en tant que peuple autochtone de la région africaine des Grands Lacs, sont dénigrés par de nombreux autres groupes ethniques. Si les Twas dans leur ensemble souffrent de discrimination, de marginalisation et d’extrême pauvreté, combien plus les femmes twas en souffrent-elles. Cette situation a été récemment exacerbée par le violent conflit qui a secoué la région. Dorothy Jackson possède de nombreuses années d’expérience et de travail aux côtés des communautés twas de la région et des femmes twas en particulier. On devine clairement les voix des femmes twas dans ce rapport, qui plaident pour des changements et la reconnaissance de leurs droits – en tant qu’autochtones et en tant que femmes. Malgré la discrimination et la pauvreté qui sont leur lot quotidien, elles sont pleines d’énergie, d’idées et de courage, ce que ce rapport suffit à démontrer. La question foncière est aujourd’hui de premier ordre pour les femmes comme pour les communautés twas. Les Twas étaient traditionnellement dépendants des forêts et des territoires sur lesquelles ils vivaient. Or aujourd’hui, la plupart des Twas sont sans terre. Leur culture et leur existence même sont en danger. Qui plus est, les changements profonds qui affectent aujourd’hui leurs sociétés sont en train de remettre en question le statut traditionnel d’égalité entre hommes et femmes. Ce rapport présente les politiques gouvernementales et les instruments juridiques internationaux relatifs aux droits humains que les Twas et les organisations qui les soutiennent pourraient utiliser au Burundi, en Ouganda, en République démocratique du Congo et au Rwanda. En guise de conclusion, le rapport offre des recommandations aux gouvernements de ces Etats et aux organisations de développement.