Engineering the Revolution documents the forging of a new relationship between technology and politics in Revolutionary France, and the inauguration of a distinctively modern form of the “technological life.” Here, Ken Alder rewrites the history of the eighteenth century as the total history of one particular artifact—the gun—by offering a novel and historical account of how material artifacts emerge as the outcome of political struggle. By expanding the “political” to include conflict over material objects, this volume rethinks the nature of engineering rationality, the origins of mass production, the rise of meritocracy, and our interpretation of the Enlightenment and the French Revolution.
An epic drama with a host of actors, Amerindians, Vikings, Basques, French, English . Seven centuries of stirring adventure played out both at sea and on a continent whose vastness beggared the imagination of the Europeans who had come here. A common destiny pursued at Versailles, Quebec, Louisburg, Boston and Niagara.The author, who is Chief Curator of Historic Sites with the Canadian Parks Service, drew much of his inspiration from elements of the material culture, forts and barracks, uniforms, weapons and archeological remains to bring military operations in North America to life and foster a better understanding of how they were conducted. He devotes much of his book to the daily routine of soldiers and officers in New France and the often-misunderstood role that they played, not only in developing our society, but also in revolutionizing military tactics. It is a history book, reference work and art book all in one."
The fall of Quebec in 1759 to British forces under James Wolfe led to the ultimate defeat of the French empire in North America. The dramatic battle on the Plains of Abraham not only set the course for the future of Canada; it opened the door to the independence of the American colonies some 20 years later. Stacey's account is regarded as the best ever written. This new edition contains all the text and the pictures of the previous editon, in a smart and generous new format.
« Le colonel Bonnefoy apporte une contribution essentielle à l'histoire militaire de la France moderne. Sa thèse analyse, avec autant de clarté que de rigueur, des progrès techniques, technologiques et tactiques, sans lesquels la France n'aurait pas été en mesure de dominer l'Europe continentale à l'aube de l'ère contemporaine. » Jean Chagniot, professeur à l'Université de Picardie. « On a souvent raconté des batailles, et les musées exposent les armes conservées, mais un chaînon manquait. Avec l'ouvrage du colonel Bonnefoy, les instruments de combat - et les hommes qui les ont conçus, fabriqués, expérimentés – prennent, dans nos connaissances, la place qui leur revient. Ainsi, on comprendra mieux ce que furent l'art militaire et la guerre, de Louis XIV à la Révolution. » Professeur émérite André Corvisier, président d'honneur de la Commission internationale d'Histoire militaire. « Le XVIIIe siècle est une grande époque, en France, pour la réflexion stratégique et tactique. Mais il manquait, jusqu'alors, pour l'étudier avec fruit, un travail de base sur les armes portatives - particulièrement le fusil - dont l'apparition sur le champ de bataille a des conséquences considérables sur les méthodes de combat. François Bonnefoy, au prix d'un dépouillement considérable d'archives, apporte désormais une précieuse information, non seulement sur l'évolution technique du fusil, mais sur les structures de production et leur place dans la vie économique du pays. » Général (c. r.) Jean Delmas, président de la Commission française d'Histoire militaire. « Paradoxalement, l'industrie de guerre française de l'époque moderne n'avait pas donné lieu à une étude approfondie. La lacune est désormais comblée. Se révèle ainsi, grâce à l'extraordinaire documentation amassée par le colonel Bonnefoy, la mise en place d'une très forte industrie d'armement sous Louis XIV. Sur cette base, la technologie française accentue, au XVIIIe siècle, son avance. La thèse de François Bonnefoy dévoile ainsi un pan majeur de l'histoire militaire et, plus encore, de l'histoire nationale de notre pays. » Jean Meyer, professeur à l'Université de Paris Sorbonne
In The Path Not Taken, Jeff Horn argues that—contrary to standard, Anglocentric accounts—French industrialization was not a failed imitation of the laissez-faire British model but the product of a distinctive industrial policy that led, over the long term, to prosperity comparable to Britain's. Despite the upheavals of the Revolution and the Napoleonic Wars, France developed and maintained its own industrial strengths. France was then able to take full advantage of the new technologies and industries that emerged in the "second industrial revolution," and by the end of the nineteenth century some of France's industries were outperforming Britain's handily. The Path Not Taken shows that the foundations of this success were laid during the first industrial revolution. Horn posits that the French state's early attempt to emulate Britain's style of industrial development foundered because of revolutionary politics. The "threat from below" made it impossible for the state or entrepreneurs to control and exploit laborers in the British manner. The French used different means to manage labor unruliness and encourage innovation and entrepreneurialism. Technology is at the heart of Horn's analysis, and he shows that France, unlike England, often preferred still-profitable older methods of production in order to maintain employment and forestall revolution. Horn examines the institutional framework established by Napoleon's most important Minister of the Interior, Jean-Antoine Chaptal. He focuses on textiles, chemicals, and steel, looks at how these new institutions created a new industrial environment. Horn's illuminating comparison of French and British industrialization should stir debate among historians, economists, and political scientists.
« Le colonel Bonnefoy apporte une contribution essentielle à l'histoire militaire de la France moderne. Sa thèse analyse, avec autant de clarté que de rigueur, des progrès techniques, technologiques et tactiques, sans lesquels la France n'aurait pas été en mesure de dominer l'Europe continentale à l'aube de l'ère contemporaine. » Jean Chagniot, professeur à l'Université de Picardie. « On a souvent raconté des batailles, et les musées exposent les armes conservées, mais un chaînon manquait. Avec l'ouvrage du colonel Bonnefoy, les instruments de combat - et les hommes qui les ont conçus, fabriqués, expérimentés – prennent, dans nos connaissances, la place qui leur revient. Ainsi, on comprendra mieux ce que furent l'art militaire et la guerre, de Louis XIV à la Révolution. » Professeur émérite André Corvisier, président d'honneur de la Commission internationale d'Histoire militaire. « Le XVIIIe siècle est une grande époque, en France, pour la réflexion stratégique et tactique. Mais il manquait, jusqu'alors, pour l'étudier avec fruit, un travail de base sur les armes portatives - particulièrement le fusil - dont l'apparition sur le champ de bataille a des conséquences considérables sur les méthodes de combat. François Bonnefoy, au prix d'un dépouillement considérable d'archives, apporte désormais une précieuse information, non seulement sur l'évolution technique du fusil, mais sur les structures de production et leur place dans la vie économique du pays. » Général (c. r.) Jean Delmas, président de la Commission française d'Histoire militaire. « Paradoxalement, l'industrie de guerre française de l'époque moderne n'avait pas donné lieu à une étude approfondie. La lacune est désormais comblée. Se révèle ainsi, grâce à l'extraordinaire documentation amassée par le colonel Bonnefoy, la mise en place d'une très forte industrie d'armement sous Louis XIV. Sur cette base, la technologie française accentue, au XVIIIe siècle, son avance. La thèse de François Bonnefoy dévoile ainsi un pan majeur de l'histoire militaire et, plus encore, de l'histoire nationale de notre pays. » Jean Meyer, professeur à l'Université de Paris Sorbonne