L'entreprise est le plus puissant agent du changement dans notre société, dès lors que son intérêt économique est bien compris. L'ONG est indiscutablement la force médiatique la plus populaire du moment, façonnant l'opinion et les débats, toujours là pour rappeler l'entreprise à ses devoirs envers la société. Ensemble, entreprises et ONG peuvent apprendre à collaborer, à se nourrir mutuellement, pour dessiner les contours d'une société plus durable. L'auteur propose des pistes concrètes permettant de hisser petit à petit notre société de plain-pied dans son développement durable.
Les entreprises ont désormais une responsablilité sociale et environnementale et il semble admis aujourd'hui qu'une stratégie de développement durable ne sera atteinte qu'avec leur concours actif. Et si les entreprises n'utilisaient le développement durable que comme stratégie de marketing ? Et si leur engagement en sa faveur n'était autre chose qu'une forme de lobbying pour des investissements publics dans des infrastructures, leur permettant d'accéder à des marchés ? ... Ce livre veut donner un aperçu de ces débats en pleine évolution. Que le lecteur soit acteur du développement durable, chercheur, militant ou simple citoyen, les contributions qui suivent enrichiront un débat de société qu'il est urgent de mener.
Ce livre s'inscrit dans la continuité de l'ouvrage du même auteur, "La production du coton équitable et biologique au Mali". Que devient le commerce équitable quand il se trouve intégré dans la planification d'une ONG internationale qui règle ses interventions sur les principes du développement durable? L'analyse du projet coton bio-équitable au Mali a permis d'explorer les particularités de ce modèle de développement et de saisir les principaux mécanismes de fonctionnement des ONG, acteurs désormais incontournables de la coopération internationale.
Dans la lignée du mouvement initié depuis plus de 10 ans en matière de qualité, de management environnemental et de responsabilité sociale, AFNOR a réuni des entreprises, des organismes publics, des ONG, des syndicats et des organisations professionnelles pour constituer un groupe de travail chargé d'élaborer des recommandations pour la prise en compte des enjeux du développement durable dans la stratégie et le management des entreprises. Les réflexions de ce groupe de travail ont aujourd'hui abouti au nouveau référentiel SD 21000. Quels que soient leur secteur d'activité et leur champ d'action (français, européen, international), le SD 21000 répond aux préoccupations des entreprises : comment intégrer le principe de développement durable au sein de sa politique et de sa stratégie ? Quels objectifs se fixer pour faciliter les choix stratégiques liés au développement durable ? Quels moyens et comment les mettre en couvre pour pouvoir atteindre ces objectifs ? Le présent recueil fournit l'intégralité du SD 21000, en français et en anglais. Il propose en outre de vous accompagner dans la lecture de ce nouveau référentiel grâce à deux articles inédits : Genèse et avenir du SD 21000 et Les référentiels de management : cartographie. Une bibliographie normative organisée par pays et par thème vous permettra enfin d'adapter plus précisément votre démarche, notamment à des besoins concernant l'international. Le recueil Développement durable est l'outil indispensable des entreprises souhaitant allier efficacité économique, responsabilité sociale et protection de l'environnement, pour une nouvelle gouvernance de l'entreprise.
Human rights offer a vision of international justice that today’s idealistic millions hold dear. Yet the very concept on which the movement is based became familiar only a few decades ago when it profoundly reshaped our hopes for an improved humanity. In this pioneering book, Samuel Moyn elevates that extraordinary transformation to center stage and asks what it reveals about the ideal’s troubled present and uncertain future. For some, human rights stretch back to the dawn of Western civilization, the age of the American and French Revolutions, or the post–World War II moment when the Universal Declaration of Human Rights was framed. Revisiting these episodes in a dramatic tour of humanity’s moral history, The Last Utopia shows that it was in the decade after 1968 that human rights began to make sense to broad communities of people as the proper cause of justice. Across eastern and western Europe, as well as throughout the United States and Latin America, human rights crystallized in a few short years as social activism and political rhetoric moved it from the hallways of the United Nations to the global forefront. It was on the ruins of earlier political utopias, Moyn argues, that human rights achieved contemporary prominence. The morality of individual rights substituted for the soiled political dreams of revolutionary communism and nationalism as international law became an alternative to popular struggle and bloody violence. But as the ideal of human rights enters into rival political agendas, it requires more vigilance and scrutiny than when it became the watchword of our hopes.
The Cambridge Handbook of Engineering Education Research is the critical reference source for the growing field of engineering education research, featuring the work of world luminaries writing to define and inform this emerging field. The Handbook draws extensively on contemporary research in the learning sciences, examining how technology affects learners and learning environments, and the role of social context in learning. Since a landmark issue of the Journal of Engineering Education (2005), in which senior scholars argued for a stronger theoretical and empirically driven agenda, engineering education has quickly emerged as a research-driven field increasing in both theoretical and empirical work drawing on many social science disciplines, disciplinary engineering knowledge, and computing. The Handbook is based on the research agenda from a series of interdisciplinary colloquia funded by the US National Science Foundation and published in the Journal of Engineering Education in October 2006.
This report reviews engineering's importance to human, economic, social and cultural development and in addressing the UN Millennium Development Goals. Engineering tends to be viewed as a national issue, but engineering knowledge, companies, conferences and journals, all demonstrate that it is as international as science. The report reviews the role of engineering in development, and covers issues including poverty reduction, sustainable development, climate change mitigation and adaptation. It presents the various fields of engineering around the world and is intended to identify issues and challenges facing engineering, promote better understanding of engineering and its role, and highlight ways of making engineering more attractive to young people, especially women.--Publisher's description.
