Madame Necker occupies a unique position in French social and cultural history. This study breaks new ground by examining the profoundly corporeal nature of Madame Necker’s life – her debilitating, decades-long psychic and somatic suffering and subsequent curious death.
This groundbreaking new source of international scope defines the essay as nonfictional prose texts of between one and 50 pages in length. The more than 500 entries by 275 contributors include entries on nationalities, various categories of essays such as generic (such as sermons, aphorisms), individual major works, notable writers, and periodicals that created a market for essays, and particularly famous or significant essays. The preface details the historical development of the essay, and the alphabetically arranged entries usually include biographical sketch, nationality, era, selected writings list, additional readings, and anthologies
Focusing on the theory and practice of Cistercian persuasion, the articles gathered in this volume offer historical, literary critical and anthropological perspectives on Caesarius of Heisterbach’s Dialogus Miraculorum (thirteenth century), the context of its production and other texts directly or indirectly inspired by it. The exempla inserted by Caesarius into a didactic dialogue between a monk and a novice survived for many centuries and travelled across the seas thanks to rewritings and translations into vernacular languages. An accomplished example of the art of persuasion —medieval and early modern— the Dialogus Miraculorum establishes a link not only between the monasteries, the mendicant circles and other religious congregations but also between the Middle Ages and Modernity, the Old and the New World. Contributors are: Jacques Berlioz, Elisa Brilli, Danièle Dehouve, Pierre-Antoine Fabre, Marie Formarier, Jasmin Margarete Hlatky, Elena Koroleva, Nathalie Luca, Brian Patrick McGuire, Stefano Mula, Marie Anne Polo de Beaulieu, Victoria Smirnova, and Anne-Marie Turcan-Verkerk.
Envisager la pensée d'un écrivain que la tradition ne tient pas pour un penseur - et dont les textes n’épargnent pas la prétention philosophique -, peut paraître paradoxal, voire naïf. Mais ce serait oublier que la réflexion prend bien des chemins et que la littérature est un espace de pensée. Il faudrait, par conséquent, plutôt s’étonner du fait qu'il puisse sembler anormal d'interroger la pensée d’un écrivain. Mais Ie terrain est, il est vrai, miné... Mieux vaut repartir sur des bases modestes et claires, d'après quelques constats. Ainsi, concernant Marivaux, est-il frappant de relever l'importance que tiennent les réflexions dans ses textes. Rien de plus légitime dès lors que de se demander si ces pensées, apparemment décousues, n'entrent pas dans une conception ordonnée du réel et de « l’humanité ». Il ne s’agit pas pour autant d’en revenir à une position simpliste consistant à attribuer à chaque auteur une conception du monde à partir d’un relevé de ses affirmations explicites ou implicites. Plutôt que de se fourvoyer dans un exposé artificiellement complet de la pensée de Marivaux, il paraît plus intéressant de faire quelques pas en direction de ce qui est pensé dans les textes de Marivaux.
Au cours des deux derniers siècles, la Banque de Montréal s’est trouvée au cœur du développement économique et financier du Canada. Publié à l’occasion du bicentenaire de la première banque canadienne, Un destin plus grand que soi puise dans l’iconographie de cette institution financière pour raconter son histoire de ses origines jusqu’à nos jours. Retraçant le passé de la Banque de Montréal grâce à des images d’objets, de ses dirigeants, de documents essentiels et de publicités aujourd’hui tombées dans l’oubli, Laurence B. Mussio illustre son émergence progressive. En dévoilant petit à petit sa perception de sa direction, sa culture, la communauté, ses triomphes et ses difficultés, il offre un aperçu de la personnalité de cette banque, de ses innovations, de ses technologies, de ses projets d’édification de la nation et de son héritage architectural. La mosaïque qui en résulte jette un éclairage unique sur l’expérience vécue par la Banque de Montréal au fil des ans. Si chacun des éléments visuels évoque un épisode particulier aussi divertissant qu’extraordinaire, collectivement, ces objets révèlent une histoire beaucoup plus complète. De la lecture de ce livre se dégage l’image d’une banque qui a façonné l’univers canadien et nord-américain tout en se laissant modeler par lui. À partir d’une gamme incroyablement vaste de documents, Un destin plus grand que soi célèbre l’évolution d’une banque et la manière dont elle a laissé sa marque.