À l'échelle de l'Afrique, quelles sont les perspectives concernant le développement durable et la responsabilité sociétale de l'entreprise (RSE) ? Cet ouvrage présente quelques pratiques de développement durable et de responsabilité sociétale, dans le contexte spécifique du continent africain. Il met en perspective des questionnements relatifs à certaines formes d'organisations (entreprises, clusters, universités), du nord au centre et à l'ouest de l'Afrique.
La demande sociale faite aux entreprises d’intégrer les enjeux du développement durable dans leurs décisions, initialement tournée vers les grandes organisations, s’est étendue progressivement aux PME. Une attention accrue est ainsi portée à la façon dont celles-ci contribuent à l’intérêt général, au nom de leur responsabilité sociétale (RSE). Or les spécificités de gestion des entreprises de petite taille éloignent leurs principes de fonctionnement de ceux des plus grandes et posent ainsi de façon spécifique la question de la RSE. De même, les outils généralement élaborés par ou pour les grandes entreprises n’apparaissent pas toujours facilement mobilisables en PME. Cet ouvrage s’attache donc à montrer comment les petites entreprises peuvent s’inscrire dans des logiques de performance globale, en parvenant à intégrer, dans leur diagnostic stratégique et leur plan d’action, la complexité des relations entre les dimensions économique, sociale et environnementale. Cet ouvrage intéressera non seulement les étudiants en gestion de la PME, en entrepreneuriat, en DD, mais aussi les gestionnaires de PME (formation continue) qui souhaitent savoir comment mettre en oeuvre concrètement le DD et la RSE.
Prix Turgot des ouvrages collectifs - 2024 Ouvrage labellisé FNEGE catégorie « Ouvrage de recherche collectif » Depuis sa première reconnaissance internationale avec la norme ISO 26000 en 2010, la RSE, ou responsabilité sociétale des entreprises, s’est complexifiée. Il existe désormais de nombreuses déclinaisons, notamment sur l’ensemble des fonctions clés de l’entreprise et auprès d’une variété d’acteurs (hôpitaux, administrations, associations, universités...). Cet ouvrage permet aux étudiants, aux enseignants et aux professionnels de revenir aux sources historiques et culturelles de la RSE, tout en détaillant les approches fonctionnelles dans les domaines clés comme la stratégie, la finance, le contrôle de gestion et la comptabilité, la gestion des ressources humaines et le coaching, le marketing et la communication ou encore les achats. Vous y retrouverez une synthèse de la littérature académique, l’intégration de l’actualité juridico-économique et les clés de lecture du déploiement et de la mise en oeuvre d’une politique RSE à succès. Enfin, une partie est consacrée à une approche critique, permettant de mieux identifier les limites et perspectives d’avenir de la RSE. CE QUE VOUS ALLEZ APPRENDRE // Comprendre les différences internationales de la RSE. // Acquérir une connaissance des déclinaisons fonctionnelles de la RSE. // S’initier à des cas d’application de la RSE. // Développer une approche critique de la RSE.
A partir du cas emblématique de Danone, l'objectif de cet ouvrage est de proposer le traitement concret du déploiement d'une stratégie de Responsabilité Sociale de l'Entreprise dans toute l'organisation. Comment intégrer de nouveaux principes, de nouvelles pratiques dans des fonctions telles que les approvisionnements, la finance, le contrôle de gestion, la production, le marketing, la distribution et (bien sûr) la communication ? Tels sont les défis que pose la RSE au management et auxquels les auteurs de ce livre proposent des réponses.
Ce livre a pour objet de tenter de mieux comprendre en quoi une volonté de formaliser une démarche de responsabilité sociétale peut amener une entreprise à se réinterroger sur sa mission. Une réflexion a été menée sur les "démarches" de responsabilité sociétale des Entreprises de Taille Intermédiaire (ETI). La responsabilité sociétale d'une entreprise peut être motivée par une éthique dite "utilitariste" d'accroître ses profits aux bénéfices des actionnaires ou par une éthique dite "moraliste" tenant compte l'ensemble des parties prenantes dans un but d'équilibre entre les domaines économiques, sociaux et environnementaux. Par ailleurs, la parution de la norme ISO 26000 a conduit la réglementation en vigueur à devenir de plus en plus exigeante vis-à-vis des externalités des entreprises et les oblige dorénavant à publier un rapport extrafinancier. Ainsi, quatre "outils" de réflexion, de mise en place, de formalisation, de valorisation de démarche de responsabilité sociétale ont été analysés et l'auteur a pu mettre en avant dans quelles mesures ils pourraient être utilisés et valorisés par les ETI. Il s'agit du Global Performance System (performance globale) du Centre des Jeunes Dirigeants, de la norme ISO 26000, du Label LUCIE et de la démarche proposée par The Natural Step. La formalisation d'une politique RSE constitue un facteur de différenciation primordial ; en parallèle une telle démarche ne peut pas faire l'économie d'un questionnement profond sur les valeurs et la mission de l'entreprise. Une stratégie d'entreprise visant à être pertinente à long terme passe aujourd'hui par le prisme de la RSE. L'auteur termine son propos en développant la notion de service à la société intimement liée à celle de développement durable.
La RSE qui est concept ancien a connu un regain de légitimité ces dernières années avec les injonctions du développement durable. En effet la RSE doit traduire les dimensions du développement durable à l'échelle des entreprises. Il s'agit pour les organisations de gérer les dimensions économiques, sociales et environnementales. Le pilotage de ces trois dimensions doit procurer à l'entreprise une performance globale. Le concept de performance globale pose un défi managérial au sein des organisations et particulièrement au contrôle de gestion en termes de dimensions à piloter. Des outils de pilotage notamment les tableaux de bord prospectifs ont été mis en place pour apporter des réponses mais il semble que les réponses apportées soient insuffisantes. Les allers-retours entre le terrain et la littérature nous ont amené à positionner notre question de recherche sur le rôle du contrôleur de gestion. Cette approche nous a permis de dégager des propositions significatives sur l'implication du contrôleur de gestion dans le pilotage de la performance globale à l'issue de notre deuxième phase terrain. Au regard de nos résultats, le contrôleur de gestion facilite le pilotage de la performance globale. Cependant certains facteurs organisationnels doivent être réunis pour créer une implication forte du contrôleur de gestion dans le pilotage de la performance globale.
Évaluer son entreprise pour lui donner les clés d’une performance durable constitue aujourd’hui un enjeu majeur. Cet ouvrage présente un ensemble complet d’indicateurs qualitatifs et quantitatifs permettant d’identifier les sources potentielles de progrès. Ces indicateurs incluent la stratégie pour répondre à l’attente des stakeholders et de l’écosystème et pour gérer l’impact de l’entreprise sur son environnement dans le cadre de la responsabilité sociétale des entreprises. Ils couvrent la capacité à faire évoluer l’offre de produits et de services et le business model, ainsi que la performance des processus opérationnels. Cet ouvrage examine également des déterminants de la performance aussi fondamentaux que la transformation numérique à l’heure de l’intelligence artificielle, la culture de l’entreprise, l’éthique, la conformité, la notoriété, l’e-réputation et les bonnes pratiques du « lean management ». Pour chacun de ces thèmes, des questions concrètes à se poser permettront aux entreprises d’évaluer leur maturité en termes de performance durable.
Sous la pression conjuguée des investisseurs, des consommateurs, et parfois des collectivités ou gouvernements, l'entreprise doit répondre de sa responsabilité environnementale et sociale. S'ensuit toute une série de questionnements sur la mesure de la performance de l'entreprise, les moyens de sensibilisation et d'incitation des entreprises, les compromis entre des acteurs aux logiques d'action différentes, la place à donner à la population et aux associations dans la construction des différents outils...
